Faire la fête (comme avant) et ne pas s’en remettre

Avant (je vous parle d'un temps que les moins de 8 ans ne peuvent pas connaitre) je sortais le soir. On sortait. Pas tous les soirs, suis pas Lady Gaga plus.

On faisait la fête, on se couchait tard. Pas non plus ultra tard, c'était pas le Studio 54 non plus.

On allait danser, mettre la musique à fond, on buvait un verre ou deux, on rentrait chez nous l'âme gaie et perdue, on se couchait parfois habillés, on prenait une aspirine « par précaution » et on ronflait.

Le lendemain au réveil, la mine grise on regardait l'horloge. Midi c'était tôt. Alors on se rendormait.

Ce , j'ai voulu faire comme avant. Comme avant mais en étant . Pas pareil du touuuuuuuuuuuuuut !

Je peux l'écrire ici-même pas - j'ai vieilli.

J'ai « fait ma jeune », je me suis déhanchée sur Boogie Wonderland alors que les vrais jeunes dansaient sur des musiques inconnues de moi, j'ai sorti le rouge à lèvres, je me suis couchée si tard que j'ai rencontré une poule et le lendemain j'ai eu du mal à assumer.

Et le surlendemain aussi.

Et je pense que toute la semaine je vais payer ma .

Mais Dieu que c'était bon !

Bilan : et faire la fête tard avec des amis c'est chouette, très chouette MAIS bah voilà maman a plus 20 ans.

 

 

 

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