Il se passe début septembre un phénomène fou : en une semaine nous autres parents faisons plus de choses que les 51 autres semaines de l’année. Si,si.
Les experts de NSA se penchent dessus mais moi en attendant je suis déjà claquée par ce tourbillon hyper puissant, hyper stressant, hyper fort.
Il faudrait en une semaine oublier les vacances, le repos amassé à glander sur une plage ou dans les herbes de haute montagne, mettre de côté les 8 semaines de glande de nos enfants, encaisser les nouveaux emplois du temps, sécher les larmes de nos petits qui ne veulent pas aller à l’école, retourner au boulot, faire le plein pour le frigo, continuer à faire du sport, vérifier que le cours de danse de junior a bien redémarré, aller aux réunions parents-profs, se demander si on inscrit déjà les mômes au centre de loisirs pour la Toussaint, diner avec les voisins car c’est la tradition, couvrir les livres à 23H, aider les enfants dans leurs devoirs, se coucher tôt, se réveiller tôt, remettre notre cerveau en mode actif, ranger les affaires d’été, sortir les affaires d’automne, essayer les chaussures pour “voir”, établir la liste des mamans et papas qu’on connait de la classe, se demander si on part à Noël, développer les photos de l’été, ranger les maillots, ôter les grains de sables venus se nicher dans les baskets en aout, envoyer les grands-parents chercher les kids car on une réunions interminable au bureau, trouver une baby-sitter pour samedi soir, payer déjà en avance la cantine, se dire qu’on va manger bio, lire, aller au théâtre, assurer les réveils des loulous en plein cauchemar…
Allez courage, c’est QUE le début.